Bioéthique du travail

La bioéthique du travail est une conception appliquée de la techno-science, des politiques publiques, de la protection de l’environnement pour la création de conditions qui génèrent un environnement de travail adéquat et une approche digne du travail. La bioéthique du travail semble trouver un sens et une signification à l’existence des êtres humains et à la raison d’être de leur travail.

La santé des travailleurs est un indicateur de la qualité de vie générée par le processus de production et l’organisation sociale qu’il engendre.

La bioéthique du travail comprend l’application pratique des contributions de scientifiques et de professionnels tels que Fritz Jahr, Van Rensselaer Potter et Alfono Llano Escobar.

Histoire

La bioéthique a été créée en 1927 par Fritz Jahr comme une nouvelle façon de faire de l’éthique dans la société. La Révolution française a donné naissance à de nouvelles formes de travail et, avec elles, à l’émergence de démocraties représentatives. Le concept de bioéthique au travail est utilisé depuis le début du 21e siècle, intégrant des éléments tels que la nouvelle législation, les découvertes scientifiques, la protection des employés et les pratiques de qualité pour prendre soin de la nature. L’organisation

Bioéthique et travail

Le travail est avant tout un processus entre l’homme et la nature dans lequel l’homme, par sa propre activité, sert de médiateur, régule et contrôle l’échange de substances entre lui-même et la nature … . En agissant sur la nature extérieure, l’homme modifie la nature en même temps qu’il se modifie lui-même. En modifiant la nature, l’homme atteint sa finalité consciente, il adapte les objets de la nature à ses besoins.

Le processus du travail comprend trois moments : 1) l’activité de l’homme orientée vers une fin, c’est-à-dire le travail lui-même ; 2) l’objet du travail ; 3) l’objet du travail. 2) l’objet du travail et 3) les instruments de production avec lesquels l’homme agit sur l’objet donné. Le travail constitue la condition première et fondamentale de l’existence humaine ; le travail, dans son processus de socialisation, a créé l’homme lui-même. Le travail est considéré à la fois comme un devoir moral, une obligation sociale et la voie de la réussite personnelle.

Approches

Vers le travail : renforcer la confiance entre les travailleurs et les employeurs, en mettant l’accent sur la conversation et le dialogue ouvert, pour un jeu équitable, sans idées préconçues, avec honnêteté, cohérence, loyauté et empathie, afin que les acteurs du monde du travail passent d’une éthique du commandement et de l’obéissance à une éthique de la responsabilité et de la liberté.
Avec le travail : elle intègre l’éthique du travail, en rendant obligatoire un minimum d’éthique civile pour le savoir-faire, y compris les considérations liées à la dignité de la vie qui émergent avec la vie elle-même ; c’est la durabilité humaine qui est transformée par les convergences technologiques des sciences cognitives, de la nanotechnologie, de la robotique, de l’info-électronique et de la génétique. La bioéthique fournit des méthodes prospectives, systématiques et globales pour analyser les changements vertigineux provoqués par la techno-science et éviter ainsi que le travail ne se déshumanise.

Pour le travail : elle unifie les relations industrielles et de travail autour du respect de la vie, avec des considérations environnementales humaines et non humaines prédominantes dans tout travail ou intervention qui transforme l’environnement et son impact sur la planète, qui met en évidence la discrimination et le racisme au travail, ainsi que les conséquences du travail des enfants et des adolescents dans ses pires formes, telles que l’exploitation sexuelle et le service domestique ; qui dénonce les inégalités et les injustices et les vides éthiques sur le marché du travail (dans la demande, l’abus de position dominante des entreprises, l’abus de position dominante des entreprises, l’abus de position dominante des entreprises, l’abus de position dominante des entreprises, etc : abus de position dominante des entreprises ; Du côté de l’offre : fragilité de la population vulnérable – jeunes diplômés, femmes, adultes plus âgés – Du côté de l’intermédiation : le rôle de l’Etat en tant qu’arbitre qui n’équilibre pas les injustices du travail).

Références

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